« Si le Président de la République dit à
la Nation : ‘’Je ne voudrais pas que le dialogue puisse avoir comme
finalité la modification de la Constitution’’, il s’engage à respecter la
Constitution et rassure le peuple congolais qu’il ne va pas briguer un
troisième mandat et ne sera pas candidat, pour mon parti, ça suffit pour que
nous puissions participer aux pourparlers qui vont permettre au peuple
congolais d’avoir un calendrier électoral inscrit dans le délai
constitutionnel. »
« C’est clair que si nous
quittons notre mode de scrutin actuel pour éventuellement élire le président de
la République au second degré par un groupe de députés par acclamation… C’est
un coup d’état constitutionnel ».
« Monsieur Kabila veut faire un coup d'État
constitutionnel. En appelant à un nouveau système électoral, il veut faire passer le pays dans une nouvelle
République. Cette nouvelle République permettrait ainsi au président de briguer
un nouveau mandat, ce que la Constitution actuelle lui interdit ».
« Monsieur
Kabila doit choisir entre son égo et le peuple congolais » ; « un
changement du mode de scrutin présidentiel relève de la "haute
trahison" ».
« Nous devons barrer la route à une telle
imposture… en demandant à notre population de défendre la démocratie et la Constitution ».
« Le seul langage
que le pouvoir va désormais entendre, c’est la mobilisation de la population »
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